L'offense est une Idylle si On veut bien l'accepter comme cela L'Ame flirte l'esprit Personne n'avait réfléchit L'Argent écrase bien des soucis Si vous n'en avez pas On arrive quand même à se débrouiller Pour que la liberté arrive plus haut placée Offense-t-il toute les têtes C'est possible en prenant les bêtes L'Art de peindre profite Si on peut toujours avoir le site Claude B. 10/03/99 |
Idylle, houleux délire d'Idylle. Idyllique tendre Amour Merveilleux idéal Platonique romanesque Passion rebelle Exaltation sensuelle. Au début un mirage, Une illusion, une passade, Insensé, fortuit, inachevé, Joueur, coquin, Léger, à peine perceptible. Et puis tout doucement, Le manque naquît, Un abîme dans l'âme se dessinait, Le besoin, le désir, L'autre cesse d'être l'étranger anodin. Attendre sa présence, Ne plus conjuguer " je " mais " nous ", Le café du matin devient magique, Le fruit du dessert n'est plus défendu, La routine se métamorphose en feu d'artifice. Aimer en silence, Peindre un fantasque abri de tendresse, Soupirer, frémir, T'accaparer jalousement, Oh ! Belle Idylle de toujours. Charles H.L. 10/03/99 |
L'Idylle volette De ses ailes frêles mais enjouées Elle est encore plus douce que Tous les doux alizés de la terre. Elle garde en nous l'enfant que certains voudraient massacrer Mais l'enfant en nous se rebiffe. Il a droit à l'existence dit-il à la voix autoritariste L'Idylle, elle, ne donne jamais d'ordres Elle se laisse porter par l'amour Elle est ancrée dans la caresse. Elle est légère, affriolante Elle ne se suffit pas à elle même Mais elle est fraîcheur et s'inocule dans nos veines Pour toujours Fançoise Parigi 11/03/99 |