INSOMNIE
En regardant au plafond de sa chambre sans vie, il se dit qu'il fumerait bien une cigarette ou un joint. Rien que pour voir si l'alarme marchait. Une simple détectrice de fumée au milieu d'un carrelage blanc.
Rien de plus déprimant.
Dans la chambre : une fenêtre où jamais n'apparaît ce soleil (si réparateur),ce lit, ce bureau (juste pour écrire ce qui te démange).
Et le meilleur pour la fin : un fauteuil, quand t'en as marre d'être couché, tu t'y assoie.
J'allais oublié les toilettes : douche et WC carrelés.. Le luxe que t'aurais du mal à avoir chez toi.
Enfin, on ne s'en plaint pas bien au contraire.
On est aux aguets, c'est juste une nuit d'insomnie parmi d'autres. Une nuit où la peur du cauchemar domine, où toutes les pressions et tensions de la journée reviennent. Où les angoisses t'assaillent dans tout ce silence.
Tu te serais bien évadé dans l'un de tes pays imaginaires.
Mais non, tu tournes en rond dans ta tête les bons et mauvais moments de la journée.
Tu imagines des ennemis de façon abstraite et tu marches dans cette chambre fermée. Ce qui est
faux puisque tu es bien au chaud au fond de ton lit où tu te retournes pour trouver enfin ce sommeil qui te manque.
Et puis, tu te laisse glisser, envahir par ce silence qui t'assassine. Tu aimerais crier mais tu laisse entrer cette douceur unique et pseudo-. Protectrice.
Malheureusement, tu vois se pointer un petit bout de clarté. Ce qui signifie que tu as raté cette belle occasion de te retrouver et surtout de te reposer.
Tu te dis anxieux, la nuit prochaine sera-t-elle identique ?
Faudra-t-il boire un bol de lait ?
Je pense qu'il suffit d'écouter sa respiration et on se sent moins seul dans ce noir complet. La musique de l'air entrant et sortant t'accompagne dans les bras de Morphée (déesse du sommeil).qui peut-être t'accordera t-elle le plaisir de dormir jusqu'au lever du soleil qu'on aurait souhaiter qu'il reste encore un peu à l'autre bout (opposé) de la terre.
A MAMOUNETTE
O femme, déesse immaculée, muse concrétisée.
Avec tes petits cheveux rouges toujours bien coiffés.
O femme avec tes petites mains, tes petits pieds,
Tu as bien tout en mini mais un cœur..
Un cœur rare et pleins de bonnes volontés.
Farfelue, jamais tu te lasses malgré la peur..
J'espère pour toi, le bonheur,
Et toujours en pleine forme ;
Que ton rire et ton sourire restent ainsi.
Rien que de les voir, on se sent devenir énorme..
Mais cette énormité est celle d'une âme pleine de vie.
Fais-moi plaisir, ne m'oublies pas,
Et si t'as le cafard, pense à moi.
POUR MON AMI
Tu sors de cet endroit, il te faudra courage et force.
Je sais que des ressources, tu as et tu auras
L'amour, l'amitié te renforcera.
Si tu fais une connerie que tu descends au plus bas.
N'oublie pas ce que tu as vécu, vis et vivras..
Le pain noir n'est pas facile à digérer,
Mais qu'est-ce que le pain blanc est bon !
Vois la beauté du jour
Vois l'amour que te porte famille et amis
Trouve-toi un but : patience mon ami..
Et tu t'en sortiras.
Même s'il y a des hauts et des bas.
Alors il faut te dire : Carpe Diem.
Et TOI, QU'EN DIS-TU ?
Qu'est-ce que la vie ?
N'est-ce pas qu'une simple symphonie ?
Rythmée par d'innombrable mélodies diverses,
Dans cet immense univers de soleil et d'averses.
Où certaines questions se posent.
Et où quelques réponses d'autres nous proposent.
A toi, on te disait : tes jambes sont fines comme celle d'un mannequin-pro.
On te disait : tes bras sont doux comme le sirop qu'on met dans le lait pour endormir les gens.
On te disait : tes lèvres sont charnues et tendres comme celles d'uns belle enfant.
On te disait : ton sourire est beau comme celui du petit prince.
Tes yeux, d'un noir d'ébène sont remplis de volupté et ton visage reflète un peu de tranquillité.
On te disait : tu es grande à présent,
Avance va de l'avant.
Mais toi, tu te voyais et vivais dans cet univers d'enfant.
Et tu reculais, reculais .Et tu avançais, avançais
Vers cet avenir effrayant parce qu'incertain,
Avant de comprendre que s'il y a un destin, on en ai maître
Et que la vie est un labyrinthe d'où on ne devrait jamais disparaître
Qui est-elle ?
Elle se sent vieille et pourtant moins de la quarantaine.
Elle se demande ce qu'elle a fait de sa vie
Elle n'a pas connu le bonheur de l'amour et n'a observé que la haine et le rejet, réel ou pas.
Elle n'a jamais connu la joie pas même celui de devenir mère.
Je ne suppose qu'elle était paranoïaque mais elle n'en était sans doute pas loin.
Fermière ou femme-médecin ou citoyenne tout simplement ; d'un pays quelconque, elle s'en fout
royalement.. pour elle ce qui compte c'est son avancée vers l'âge mature et tout ce qui concerne la vieillesse .
Devenait-elle psychotique avec pour obsession celle de son âge ? Je n'en sais rien. Je devine que dans sa solitude il n'y a de place pour personne. ; Elle est complètement égoïste et égocentrique.. Et dans sa bulle, elle s'est enfermée, blindée, amère ni heureuse ni malheureuse. Elle survie dans son monde ; un lieu où il n'y a qu'un miroir lui renvoyant l'image d'une vie gâchée par la honte et la haine refoulées et destructrice.
Celles qui rongent de l'intérieur. Qui est-elle toutes femmes qui ont beaucoup souffert dans leur vie sans jamais s'apaiser ni trouver la vraie tranquillité.
L'ELAN DE LA LIBERTE
En regardant de ma fenêtre, comme dans toutes celles où j'observais la vie, je sens l'élan de la
liberté, si fort qu'il me pousse à rêver d'autres lieux.
Je vois les couleurs des feuilles qui changent avant de se laisser aller sur le sol… Comme pour me dire
tu as de la chance de ne pas être comme nous. On vit, on jaunit pour disparaître avec la pluie d'un ciel d'automne. En virevoltant comme pour dire : " regardez, j'ai changé de couleur, j'ai mis mes
amis dorés et orangés pour une dernière danse et vous dire au revoir .
Mais ma branche est toujours là.. après l'hiver l'une de mes filles me fera revivre et vous redonnera
le goût de vivre. "
C'est vrai que les feuilles mortes sur le sol d'automne qui le tapisse, nous renvoie les plus belles
couleurs de la vie qui fuit naturellement.
Rien que ce balai de feuilles qui tourbillonnent sur elles-mêmes donnent envie de jouer, de partir
encore plus loin. Voir d'autres paysages où l'on ne ressent que la liberté et son bonheur dans la tête
comme dans le corps. Où l'on ne doit rien à personne et où personne ne nous doit rien.
Découvrir les oasis, se perdre pour mieux se retrouver et se prouver qu'on est prêt à se prendre en
main. En acceptant ce que jusqu'à présent, buté, on refusait..
INSTANT DE LA TRANQUILITE
Je suis là, je ne pense à rien
J 'écoute la mélodie des moineaux..
Je me laisse envahir par une douce torpeur.
Je ne vois, ni les arbres, ni les fleurs. Tout est calme.
J'aime les senteurs qui se dégage de l'herbe mouillée par la rosée du matin.
Enfin, je sens le soleil, je suis étourdie quand je sens ma peau se tanner sous le soleil. La chaleur
m'enveloppe, je me sens bien pour une fois et cela depuis bien longtemps.
J'aurais bien aimé que cela dure une éternité au moins plus de trente minute mais on dit : " C'est l'heure ".
Et moi dans mon fort intérieur, je pense : " l'heure de quoi ?! Alors que je suis bien.
Je me secoue car je sais qu'un jour je partirai sans fuir, ni disparaître face à quoi que se soit à la recherche d'un soleil si bénéfique et éternelle. Pour avoir encore et toujours quelque instants de tranquillité.
Ce qui me permettrait de continuer à me battre , là où j'en puiserait la force et d'espérer en des jours meilleurs. Et surtout de me ressourcer dans une solitude qui ne me fait presque plus peur.
Ce que je combats en faisant plusieurs activités que j'aime. Cela m'apporte l'inspiration et une grande inspiration.
LA FILLETTE.
C'est l'histoire d'une petite fille qui a grandi plus vite dans sa tête que dans son corps.
Les circonstances d'une vie qui désormais lui appartiennent (même si comme beaucoup, elle ne sait comment s'en servir).
Ce qui la réconforte : l'amour de sa mère et de ses frères et soeurs. Le soutien de la psy, vu qu'elle n'a jamais eu d'amis réels et véritable.
Ce qui la détruit : les souvenirs de sa tendre enfance et de ça croissance meurtries.
Fâchée par l'égocentrisme des autres qui ne se soucie guère de l'impact de l'impact qui touche le cœur
d'une si pénible enfant. Sa chair est à vif et ses os sont brisés. Plus de force pour se battre, disparu !
Enfant paisible, enfant pénible, heureux ou malheureux, gai ou triste. Sachez que le cœur d'un innocent
même s'il ne parle pas encore, est toujours fragile…
Et lorsque cette fillette s'est retrouvée seule la seule chose qui l'a aidé, c'est le rêve, l'imaginaire.
Pour se raccrocher à la réalité, il a fallu, mûre comme elle était d'être avide d'apprendre et évoluer
avec un savoir qui fait réfléchir sur le sens de sa vie et non sur ses problèmes.
Elle a acquerit une connaissance dans tout ce qui lui plaisait pour rien laisser transparaître. Il a
fallu de la concentration plus que cela une certaine centralisation. Celle qui ouvre les cœurs et les
esprits. Pour mieux s'évader et parcourir le monde avec des bottes de sept lieues.
Ce qui l'a empêcher de sombrer c'est cette force, cette rage et l'amour donné aux plus jeunes.
Et bien qu'elle sache chaque jour du nouveau sur la vie, elle est bien loin de tout connaître.
La vie est trop courte. quand on en profite
La vie est trop pénible quand on se bat sans arrêt ;
La vie est trop belle quand on est pas égaré ou halluciné.
Elle le sait car ses plus beaux instants sont ceux où elle s'est sentie vivre, c'est quand l'amour
débordait dans la maison maternelle. Où un petit rien faisait leur bonheur malgré une certaine
souffrance.
Mais le bonheur efface, en partie, la douleur interne et la remplace par de bons souvenirs remplis de
rire d'enfants.
Les plus sincères, c'est à dire rien que les sourires de l'enfance.
La symbiose ou l'imperfection de l'homme.
La symbiose entre deux êtres dans la filiation où tout paraît naturel, par exemple pourrait être nuisible pour les personnes concernées.
Car au lieu d'avoir deux personnalités bien distinctes, il n'en reste plus qu'une. Ce n'est pas tout à fait une fusion comme il en existe chez les couples amoureux réellement .
Les sentiments sont trop intenses et rendent aveugles au monde et aux personnes exterieurs.
Et bien que cela permette de ressentir ce qu'éprouve l'autre sans l'effort de la porte, cela ramène du réconfort.
Je ne suis ni infirmière, ni médecin mais je parle en ayant vu et lu beaucoup ; Je prends le droit d'ouvrir ma pensée
Je pense que la symbiose entre entre personne d'une même famille. Exemple : mère-enfant, est la plus dangereuse. Problème d'identification pour les deux.
Si un jour, j'arrive à avoir des enfants, je promets de me rappeler que cette symbiose ne peut-être que nuisible. Même si dans la maisonnée règne un amour indispensable et partagé, et parfois ambigu et fluctuant.
Je ne parle pas ici, de l'amour avec ma mère mais de l'expérience. Ayant travaillé à la maternelle pendant un certain temps.
Personne n'est parfait mais je pense que si l'amour est trop fort alors on finit par étouffer, dépérir lors de la séparation.
L'amour est le seul sentiment avec la haine qui pousse à soulever des montagnes. Quoiqu'ils soient tous les deux destructeurs à l'extrême.
J'écris ce texte pour plusieurs raisons : C'est la cause à effet de ce que j'ai observé auparavant.
J'y ai pensé vivement en discutant avec des personnes âgées. Car ces personnes m'écarquillent les yeux de leur savoir et expériences qu'ils ont connu durant toute leur vie. Car je pense à ces petits bouts qui s'accrochaient à moi à la récréation. Qui buvaient mes paroles, la bouche grande ouverte lorsque je leur parlais avec de mots simples et réfléchis en attendant l'arrivée de la maîtresse. Je repense à tout l'amour que peut apporter une femme malgré la douleur et l'inquiétude.
-Je ressens dans ma poitrine, ce cœur qui bat en étouffant d'amour.
Cette vie que j'ai fini par accepter même si je n'ai pas toujours l'assurance que devrait avoir une jeune adulte.
Mais on ne peut pas être comme tout le monde car chacun est différent. C'est ce qui fait la diversité du monde et que l'on ne s'ennuie pas. Bienheureusement.
LE PEINTRE ET LA PEINTURE.
Nombreuses sont les peintures que j'admire et qui attirent mon regard. Incitant moi-même à jouer avec les couleurs de la vie.
Passe-temps, hobbies ou métier, c'est idem..
Rares sont les peintres qui savent parler dans leur peinture.
Mélanger pour donner une couleur unique et personnelle. Je dirai presqu' intime comme m'inspire Renoir avec ses différents tons de bleus isolés ou réunis.
Souvent il y a une certaine accroche qui en fait oublier l'auteur un instant. Même si on finit par reconnaître l'auteur.
Ce qui me séduit se sont les couleurs vives qui renvoient aux couleurs de l'éveil (rouge,jaune).
Elles font partie de cette vision de l'auteur lequel est soucieux de transmettre.
Comme s'il nous disait : " Regardez comme je vois le monde, je désire le partager avec vous ".
Et qu'il nous incitait en hurlant : voyez les belles couleurs de la vie.. Ce n'est pas forcément sombre sombre ou clair. Pour moi, ce mélange est vraiment important car il me plonge dans une délicate nostalgie. Celle de mon pays d'origine où je n'y suis allé que rarement. C'était la période la plus colorée et gaie et ou j'ai appris à rêver en m'oxigénant.
MON SOUHAIT.
" Que le pourpre de la honte vous monte au front " aimait à dire cette prof.
Que le pourpre de la honte au front vous qui avez pris mon intimité car vous n'y êtes pas allée d mains mortes. Vous n' avez pas en pitié de la tendresse de mon age.
Vous m' avez transpercé l " cœur et le cor ps à l'âme. En même temps de par vos paroles malsaine, votre phallus ignoble et vos jugements infâmes.
A présent, je peine a retrouvé un sens à ma vie et a ne plus vous sentir dans mes rêves agités. Le tourment de mes sens et sentiments ne vous touche pas mais je vous maudits du plus profond de mes entrailles grandes ouvertes à l'aigle qui tous les jours me détruit. Comme daans le célèbre mythologie dont j'ai oublié l'essentiel.
Aujourd'hui, je souffre mais demain je rirai de revivre car ce sera ma revanche sur vous qui m'avez condamné.
Et dans mon cerveau troublé, je prends plaisir à utiliser ce langage du siècle dernier car au temps de cette période, les mots étaient couvés, soupesés. Je sais que c'était la belle époque ! Je ne suis plus seule comme je l'étais face à vous. Je sais demain vous pleurerez. Je n'ai de cesse de par mon cri et
mes larmes étouffés de vous suppliez dans ma faiblesse.
Mais bien que vous m'avez détruite, je vous remercie de m'avoir rendue plus forte. Pour tous ces autres que je saurai entendre dans leur silence et comprendre. Et à qui comme moi j'espère un jour retrouveront leur chemin, celui la même qui leur est destiné. Car tous les survivants sont comme des sphinx, ils renaissent de leur cendres.
SENSATIONS CENESTHESIQUES.
Tous ces sentiments, sensation qui se bousculent et s'entrechoquent comme les bulles d'une casserole bouillante .
Ce je-m'en-foutisme ou cette envie de tout contrôler ou tout foutre en l'air.
Cette envie de rire et de pleurer à la fois.
Ces mains et autres qui te touchent et te font mal. Cette chaleur malodorante que tu ressens.
La haine et l'amour démesurés et mélangés.
Envie de vomir ou de tout garder.
L'ordre et le désordre comme ces voix douces ou méchantes.
Construire, ou détruire, ou encore fabriquer, pour casser parce que quelqu'un dans ta tête t'en donne
l'ordre disant que c'est moche .
Tout comme un enfant que l'on a jamais été, pour pouvoir ensuite grandir en toute liberté.
Et non trop mûrir à coup d'adversité ou de nécessité.
Faute d'être maso beaucoup sont sado ; Ou faute d'être d'être idiot ont bons dos.
Pour pouvoir hurler quand on le veut et pas l'inverse, s'il y a un sens contraire.
Comme d'entrer ou de sortir quand on a le choix et pas autre chose.
Parce que lorsqu'on a ce type d'hallucinations, on distingue tout mais on est dans un brouillard.
Beaucoup en profite et qui comme à cette enfant qui n'en est pas une parce qu'on l'oblige à être
femme. A ouvrir les yeux alors qu'elle veut juste les garder plus longtemps fermer sur l'univers des
fées.
Peu de temps passe avant qu'elle voit, entend touche, goûte et sente de manière excessive.
Qu'elle ne fasse plus la différence entre le réel et ce qu'elle ressent ; entre ceux qui lui tendent la main et ceux qui veulent à nouveau profiter de l'épaisseur de l'obscurité dans laquelle elle se trouve.
Ces hallucinations-là ont l'air tellement réelles qu'on voit la réalité même si elle est fausse.
La solution à ce problème se trouve en chacun de nous ; Alors cherchez au fond de vous-même, si vous le voulez.
À UNE INFIRMIÈRE QUI PART.
M-H pour te dire on t'aime..
Petite infirmière aux yeux doux
Tu mets du calme avec ta petite voix
Celle qui apaise les angoisses,
Tous tes mots sont simples, discrets et aident crois-moi !
Tous tes mots permettent de croire en l'être humain
Un peu plus encore car tu sais tendre la main.
Pas de comédie, rien que de la sincérité.
Clair comme la couleur de tes cheveux,
Clair comme la réalité que tu transmets.
M-H, on voulait te dire merci.
Sache petite infirmière, Qu'on aurait pas assez de page pour t'écrire tout ce qu'on a à te dire.
Tout ce qui nous inspire.
Tout ce que tu nous inspire.
C'est-à-dire toute cette vie par tes sourires et rires. Alors on voulait simplement te dire bon courage
et tu fais le plus beau métier que le corps médical a su créer. Car tu sais de quoi toutes
les petites filles rêvent… Car il est celui qui inspire et insuffle de l'humanité. Je le sais, je l'ai su tant de fois, tu fais partie de celles qui ont un cœur d'or. Elles ont tous les soirs
des remords de n'avoir pas su faire mieux…pour aider les plus malheureux..
Moi, je me souviendrai toujours de toi car par ta façon d'être, tu m'offres de la joie.
C'est le plus beau cadeau,
Qui m'aide à avaler de l'eau.
L'HOSPITALISATTION EN PSYCHIATRIE.
En effet, je suis hospitalisée en psychiatrie.
Je vois souffrir tout le monde.
Car ce que porte la terre profonde est illuminé, nous a tous défoncé, fais poussé de cris un beau soir
d'un ciel étoilé.
J'écris pas des paroles en l'air.
Je m'appelle pas voltaire pour tomber à terre.
De plus " les écrits restent et les paroles s'envolent "
Ecoute-le, écoute pleurer le vent
C'est un hymne à l'amour pour soulager les cœurs trop lourds.
Tu mettras mes paroles en musique.
Car c'est vrai, le rêve fait partie de la musique.
Elle aide et arrache tous les cœurs pour réapprendre à dire : je n'ai plus peur.
On ne me dira jamais : tu es folle.
Même si cela permet d'entendre les sons les plus profonds de voir la douleur des autres, toutes leurs
frayeurs qui permet de retirer l'épine sans sueurs
Peut-être seront nous autres demain ;
Dans un avenir proche ou lointain.
Quand on est attaché.
Quand on est attaché, enfermé, c'est vraiment pas le pied.
L'envie de pisser, vous pousse à crier même si vous êtes contracté .
Est-ce un effet secondaire car je manque d'air.
Aidez-moi, s'il vous plaît, à retrouver la paix .
Je pense trop.
Ma mémoire s'emballe comme un certain avant-goût de mort.
Je me tirerai pas de balle, il faut que juste que je me concentre surtout pour ne pas pisser tel le
bébé, le nouveau-né.
Dans la tête aussi, c'est la prison car j'ai toujours été en pension.
Je vous en prie détachez-moi,
Car il faut juste que je me concentre surtout pour ne pas pisser
Je me promets de me taire
Je ne suis pas un épicentre, ni l'œil du cyclone de la tempête.
Je ne suis pas non plus un clone. Moi, ils m'entendent pas dans leur pièce car ils ont mis des
boule-quiess pour pouvoir dormir. Et la pseudo-mort obtenir. Je suis seule et ils ferment les yeux, se reposer et faire des rêves heureux.
N'oubliez pas que j'ai une famille si je suis partie, c'est pour qu'ils deviennent paisible.
Que je sens de moins en moins ; je recommence à apprendre le principale.
Celui d'être à jamais détachée et de recouvrer enfin ma liberté.
L'HYSTERIE
C'est vrai, je suis sans doute hystérique à cause d'un stress post-traumatique.
J'ai un désordre quasi-mental.
C'est la flatulence morale.
C'est vrai je suis une hystérique qui fera peut-être un beug psychique.
Je cris, pleure, frappe, il y a un hic.
Mais je veux croire en l'être humain ceux qui ont un coeur un esprit et des mains.
C'est vrai je suis une hystérique.
J'hurle, m'énerve et on me pique.
Pourquoi ma vie est-elle un enfer ?
J'écrirai pour réapprendre à me taire.
C'est vrai que je suis une hystérique, j'ai de la chance de ne pas être onirique.
Pourquoi de cela faire fi ?
Parce que c'est la vie.
Mais j'ai jamais rêver d'un amour cynique
J'apprendrai les chansons, les musiques car je suis une femme également physique.
LAISSEZ-MOI.
Laisse-moi réapprendre le soleil car il réchauffe mon cœur et m'émerveille.
Il m'aide à rêver
A parler en anglais.
" Laissez-moi vivre ma vie "
J'ai pleins de livre à écrire, il m'enseigne à leur parler et à chanter une ode à la paix.
Laisse-moi crier, chanter. C'est pas la peine de pleurer. Le soleil me permet d'espérer encore, ça c'est la loi du plus fort.
Laissez-moi mes mains pour que je puisse écrire.
Je vous en prie et mes deux yeux pour lire.
Et penser de nouveau aux lendemains.
Ils me redonnent confiance même si ça rime aussi avec méfiance.
Laisse-moi mes yeux pour voir pour qu'enfin je puisse les apercevoir.
Laisse-moi réapprendre à prier.
Laisse-moi vivre dans le soleil ;
Car le jour, la nuit, il veille ;
Laisse-moi mes rêves les plus fous,
Pour que je puisse dire ; où suis-je ?
FLATULENCE MENTALE.
Flatulence, c'est un pêt bruyant.
La flatulence mentale que j'ai inventé cela veut dire déprime ou pétage de plomb ou vent de l'esprit.
Ne cherche pas à tout comprendre ni à tout savoir sinon après la flatulence mentale.. cela se transformera en beug psychique et bientôt national.
Tous les jours, on apprend, même à faire les choses les plus simples.
Un conseil : ne cours pas. A présent, la vie est longue et il y a tout un tas d'instruments pour se divertir, apprendre, dessiner et jouer. Car il y a un temps pour tout.
Et quand on se force trop, on finit toujours par se décourager et à se déprécier.
Alors cherche dans ta tête, les intellos, les vrais ne sont pas ceux que l'on croit.
H2O.
Petite molécule d'eau,
Merci d'exister.
Tu es la vie,H2O ;
Sans toi, nous n'aurions jamais subsister.
Peut-être y a t-il de la haine dans les cœurs mais tant que toi tu seras là, on boira.
Petite molécule d'H2O
Merci d'exister.
Sans toi, il n'y aurait plus de vie, que se soit liquéfié, solidifié ou respirée !
Car tu es la vie petite molécule d'eau..
Toute petite goutte d'eau.
J'apprendrai à ces têtes blondes qu'il faut respecter sa place dans la ronde.. comme dans tout
l'écosystème.
Quand tu coules, ça fait une petite mélodie comme le chant ou la poésie.
Et même dans la philosophie qui est l'amour de la sagesse, de la vie se reflète dans l'étendu d'eau.
Et selon les caractéristiques de chaque peuple, elle est pure, javelisée ou abrite les plus seuls.
Le sourire de M.C.
Mon sourire c'est ce que je peux offrir,
C'est ma façon à moi de dire : c'est pas grave.
Mon sourire c'est tout ce que je peux offrir .
C'est pas se moquer,
C'est pas injurier ;
C'est juste une petite douceur pour dire que j'ai un coeur.
Un sourire ça couvre les pleurs et procure la paix intérieure.
Peux-tu comprendre que je ne veux plus me pendre ?
Pour offrir ce que j'ai de mieux.
De plus, un sourire, jamais devient vieux.
Un sourire rendu rend toujours heureux,
Et on sait qu'on est au moins deux.
Pas besoin de voler pour l'offrir, ni de dire que je ne fais que survivre.
On l'offre, parfois on en reçoit,
Toujours sincère, c'est aux autres qu'on le doit.
LES PERSONNES.
Il y a des gens qui donnent envie de vivre et d'autres de mourir.
Mais il faut espérer dans la vie pour vivre et non survivre.
Il faudrait donner pour pouvoir espérer un jour vivre en paix avec soi et avec les autres.
Il faudrait aimer pour pouvoir si ce n'est espérer, être sollicité.
Et d'avoir d'autres raison de vivre que pour être apprécié ou détesté.
Quand nous poussent les ailes de la liberté. Plus tard, beaucoup plus tard. Et que son souffle nous
incite à partager pour une vie meilleur sans d'autres tares.
REGRETS.
Je sais que j'ai eu tort, d'avoir tous ces remords.
Mais je n'ai pas de regrets ;Comme la chanteuse si bien le chantait.
Si je fais toutes ces promesses ; c'est parce que j'ai le cœur en détresse.
Mais crois-moi. Faut-il que je jure sur la tête de celle que j'aime le plus ?!
J'écris des vers en prose pour apprendre à faire une pause.
Ne m'empêchez pas d'écrire car c'est toute ma vie ;
Pour vous, j'apprendrai à dire : je vous supplie car j'en ai assez de survivre.
QUAND J'ECRIS.
Quand j'écris, je me repause et fais des immenses pauses.
J'espère, je récupère et continuerai à faire des vers.
Quand j'écris tous ces pleurs, ces cris, je fonds et réapprends à dire oui.
Je m'évade dans un monde car ici c'est bien fade !
Quand j'écris, je me soulage, après c'est fini. J'oublie tout et je souris.
Je réapprend la confiance qui jamais ne rime avec défiance !
Quand j'écris, le monde est tranquille et je les laisse jouer aux billes
C'est une synthèse car ma vie à moi va dans tous les sens.
Quand j'écris jamais je ne suis éparpillée et continue à espérer en l'humanité !
Je m'amuse avec les mots, c'est une ruse car quand j'écris je sais supplier car existe encore la bonté.
Enfin, je suis utile à moi et surtout aux autres.
J'AURAI VOULU.
J'aurai voulu que mes promesses soient écrite dans un livre gravé.
J'aurai voulu que mes cris d'alerte in et out soient effacés.
J'aurai voulu au moins rêver de la savane en afrique.
Cela m'inspire la paix mentale et physique.
Voir les éléphants qui marchent lentement.
J'apprendrai le langage éléphant car ils se trompent énormément.
J'irai dans cette savane ;y a t-il des bananes ?
J'aime ce fruit des endroits chauds ; pour moi dans ce pays tout est beau. ;
Je n'ai pas peur des lionnes, j'en suis une tout en étant humaine.
Si elles veulent nourrir leurs petits, je n'ai pas peur de la mort, je me sacrifie.
Le principal, c'est que j'aurai réalisé mon rêve et aurait enfin ma trêve.
Mon pseudonyme
Cyriam, c'est une musique douce,
Ça chante comme ma langue maternelle
Parce que l'amour est éternel.
Mylène comme haine
Comme semi-laine.
Mylène Cyriam comme avoir beaucoup de peine.
Mylène Cyriam car j'ai une âme
Et elle brûle comme une flamme.
Qui tente d'éclairer votre âme.
C'est la paix de l'âme reconquise
Tant pis si je dois tendre l'autre joue
Pour recevoir une claque ou une bise.
Je ne veux plus me défendre mais sortir de cette boue.
Seule ou accompagnée, révoltée ou apaisée,
Le bien gagne toujours contre le mal.
Je voudrais être un oiseau
Si je devais être un animal
Ainsi je pourrais observer de là-haut.
Voyager et vivre en voyant tout ce qui est beau.
MISTER BEAN
Mister Bean's
Car la vie est un grand bin's
Avec ta tête aux yeux globuleux
Tu veux nous faire rire et rêver d'eux
Comme ce fameux Boris Cyrulnik
Qui enseigne des mots et continue à écrire
Egal au livre " les vilains petits canards " qui veulent rire.
Mister Bean, Monsieur Grimace
La vie est un grand ring
Ainsi qu'un énorme bing
Mister vous vous êtes regardé en face.
Comme ce célèbre Boris Cyrulnik
Qui comprend les enfants les plus silencieux
Avec amour et bonté, ça se lit dans ses yeux.
Mister Bean Monsieur Rigolo
Tu nous fais voir la vie autrement comme Gide André
Qui avec des mots simples sait vraiment philosopher.
Dis, pourras-tu un jour rendre moins douloureux nos maux ?