www.lucien-bonnafe.org


Les lits, la cuisine et le psychiatre,
cinq expositions autour de Lucien Bonnafé



Lieux
Confluences
(190 boulevard de Charonne 75020 Paris)
Rens : 01 40 24 16 46
La Villa à Corbeil
(10 rue du Bas-Coudray 91100 Corbeil-Essonnes)
Bernadette Chevillion au 01 60 90 77 76
Centre de Jour Châtelet
(5 rue Saint-Denis 75001 Paris)
Rens : 01 42 77 59 11
Centre Médico-Psychologique du Figuier
(2 rue du Figuier 75004 Paris)
Rens : 01 48 87 79 33
L'Hôpital de Jour de Bondy
(16 rue du Breuil 93140 Bondy)
Rens : 01 48 49 44 26




"Notre culture poétique fraye pour nous des voies nouvelles à la communication. Elle nous permet de saisir des évidences neuves. Grâce à elle, nous avons accès à un registre verbal élargi, nous percevons mieux les harmoniques et les résonances, le monde du symbole devient mieux communicable, et notre expression elle-même rend un écho plus juste. Ainsi, nous devenons plus efficaces."

Lucien Bonnafé



Lucien Bonnafé, ami des surréalistes, psychiatre désaliéniste, résistant, c'est au travers de cet homme que nous avons entamé un voyage dans la psychiatrie en Ile-de-France.
Nous avons rencontré ceux qui avaient connu, croisé ou suivi les traces de Lucien Bonnafé. La rencontre avec Lucien Bonnafé renvoie d’abord à un paysage de mots, ceux de la poésie, de la philosophie, de l’histoire. Le surréalisme, l’épistémologie, la guerre...
Au nom de l’impossible abandon de la folie à la langue des spécialistes, il a proposé un désaliénisme : la rencontre d’un « art de l’écoute et de l’écho », du « droit au vagabondage de l’esprit » et la participation aux « grands bouleversements de l’époque », seule condition pour prendre langue avec la folie.

Nous vous invitons à écouter sur le site www.lucien-bonnafe.org, les travaux sonores réalisés à partir des rencontres faites dans les secteurs de Bondy, Corbeil, Paris-Centre et Morsang-sur-Orge. Ils déclinent différents aspects de la pensée de Lucien Bonnafé et la façon dont elle continue aujourd’hui de travailler l’univers contrasté de la psychiatrie publique.




Nous avons rencontré
Isabelle Aubard, Claire Avram, Jean Ayme, Jacques Azoulay, Cherifa Azzaz, Pierre Bailly-Salin, Guy Baillon, Antoinette Baronne, Patricia Ben Rabah, Françoise Bernard, Marie-Pierre Boiteau, Marie Bonnafé, Martine Bourdin, Cécilia Bouzard, Françoise Brandeho, Mireille Brémond, Paul Brétécher, Isabelle Brossier, Julien Bufnoir, Yves Buin, Elisabeth Burg, Hélène Chaigneau, Patrick Chaltiel, Franck Chaumon, Serge Cholet, Bernadette Chevillion, Estelle Chinahiti, Phillipe Clément, Serge Cloarec, Alain Deniau, Linda De Zitter, Bernard Doray, Fatima Doukhan, Michel Duterde, Roger Ferreri, Céline Fogler, Michelle Fournial, Yves Gigou, Brigitte Gouesse, Frédéric Gramazio, Michaël Guyader, Claudine Hersant, Thimoté Jochel, Sylvain Joseph, Vassilis Kapsambelis, Annick Kouba, Serge Klopp, Yves Lebon, Françoise Le Gouestre, Claude Louzoun Paul Machto, Pierre Maire, Brigitte Marjolet, Françoise Maupomé, Lise Maurer, Roger Mises, Pierre Noël, Bernard Odier, Jean Oury, Eric Piel, Chantal Piquet, Sylvie Pont, Florence Quartier, Jacqueline Riquier, Rodolphe Roelens, Valérie Rouxel, Pedro Serra, Anne-Marie Kervern, Violetta Mesnard, Marianne Leroy, Claude Louzoune, André Roumieux, Jacqueline Schwarz, Anne-Marie Secret, Bernard Sigg, Jacqueline Simonnet, Danielle Sivadon, Alain Simard, Pierre Singlis, Sylvie Valérie, Arnaud Vallet, Laurent Vassal, Annie Vacelet, Véronique Veniger…




Un travail réalisé par Stéphane Gatti
avec Jean-Baptiste Leroux, Pierre-Vincent Cresceri,
Benoît Francès, Benoît Artaud, Cécile Geiger, Emilie Desjardins






Confluences
190 boulevard de Charonne 75020 Paris


« Le bureau de Lucien Bonnafé »
Exposition


La maison de Lucien Bonnafé a été vendue, une partie de ce qu'il possédait est allée aux archives. On ferme la boutique. Bonnafé, c'est fini. Vive Bonnafé !

Dans cette exposition, nous avons ramené les sédiments de ce qu'a laissé cet homme dans son bureau avant de partir. Une salle sera dédiée aux images, cartes postales, textes accumulés et photos qui ont accompagné sa vie. Bonnafé était un agitateur. En permanence, il envoyait des messages urgents à tous ceux qui l'entouraient pour les maintenir en éveil. Une seconde salle donnera à entendre des témoignages sonores sur "Bonnafé en héritage" et un questionnement sur la psychiatrie dans la ville, à partir des documents sonores réalisés à Corbeil, Bondy et Paris.


Seront diffusés « L’écoute et l’écho », un entretien filmé avec Lucien Bonnafé, et un film sur le bureau de Bonnafé comme lieu de rencontre avec les témoignages des psychiatres Michaël Guyader et Roger Ferreri qui s'y rendaient régulièrement.


Exposition ouverte tous le mois d’octobre du lundi au vendredi de 10h à 18h
Rens : 01 40 24 16 46
Inauguration le 3 octobre à 18h30 à l’espace Confluences (190 boulevard de Charonne 75020 Paris)

Trois rencontres et écoutes publiques, organisées avec les équipes qui nous ont accueillis au cours de ce travail, sont prévues courant octobre à Confluences :

— « Les lits debout », Première soirée débat le 3 octobre à 21h. Il s’agit d’une rencontre avec les équipes de secteur de Corbeil, Bondy, Paris-Centre et Morsang-sur-Orge autour de la question de l’implantation d’unités d’hospitalisation après l’asile, en fonction des besoins et des nécessités du terrain, contre la logique de la centralité de l’hôpital en tant que grand ensemble…

« La question Lucien Bonnafé », Débat le 19 octobre à 20h30.
Bonnafé a laissé une trace profonde dans les recherches des équipes qui ont continué après lui à défricher le chemin d’une autre psychiatrie. Pour autant il n’a jamais cessé de rappeler que le programme « désaliéniste » n’était pas destiné à s’enfermer dans un quelconque cénacle professionnel. De fait, il touchait à tout, tissait des liens entre toutes choses : des problèmes d’urbanisme aux questions poétiques… Rien ne lui était étranger. Le désaliénisme est-il encore à l'ordre du jour ?

« Les lieux de vie et la ville », Débat le 21 octobre à 13h30 avec les acteurs de différents lieux en Ile-de-France (le « café curieux » à Morsang-sur-Orge, l’atelier peinture de la Villa à Corbeil, le journal les Beaux Barres, l’agence 13 voyages, le restaurant Agape, la cuisine de l’hôpital de jour de Bondy) où se joue la construction de nouveaux lieux de soin et d’espaces « autres », pour établir des greffes avec la cité…
Deux fois par semaine, auront également lieu des enregistrements publics avec ceux, proches ou lointains du champ psychiatrique, qui ont contribué à écrire et interroger son histoire pendant ces trente dernières années.






Centre de Jour Châtelet
5 rue Saint-Denis 75001 Paris


« Cartographie de l’ailleurs »
Exposition



"Depuis 2002, je vis rue des Prêcheurs, à côté du forum des Halles, dans un logement social. Le ventre de Paris, ça grouille. Rue Saint-Denis, rue Lescot, les gens se marchent dessus. C'est le quartier de la mode et de chez moi j'entends la musique à fond du lundi au samedi. La nuit, Châtelet, ce n'est pas fréquentable. C'est une autre ville plus effrayante encore. Les gens s'y croisent, viennent de loin et sont de passage. C'est un quartier plein d'inconnus. Depuis que j'ai quitté l'Algérie, j'ai vécu à Aulnay-sous-bois, à Aubervilliers, aux 4000 à la Courneuve, à Saint-Denis et je n'ai jamais eu peur. En banlieue, tout le monde se connaît. Les gens circulent d'un appartement à l'autre. Les femmes se retrouvent au square avec les enfants. Le jour de L'Aïd, il est d'usage d'inviter ses voisins, même s'ils sont français, à manger la soupe et le couscous. Lors d'un décès, la famille prépare le repas, installe une table et des tréteaux dans le couloir et les gens viennent présenter leurs condoléances, s'assoient et mangent. Dans la tour, les gens s'entraident. Ils vivent ensemble. À Paris, c'est l'isolement total."
Extrait d'un texte de Mourad, Centre de Jour Châtelet


Si le « secteur » a provoqué la création dans la ville d’un réseau de lieux, et les équipes psychiatriques un nouveau tissu de relations, nous manque souvent la matérialité des circulations et des détournements que les patients instituent eux-mêmes dans le paysage urbain, depuis que l’asile ou le « grand hôpital » dont parlait Bonnafé n’est plus le seul lieu d’existence possible pour la folie.
Pour établir cette cartographie des circulations dans la ville du point de vue des patients, nous avons installé un atelier d’écriture et de sérigraphie au centre de jour Châtelet à Paris, transformé un temps en observatoire de la ville. Une série d’affiches a été réalisée avec des patients du centre, des récits ont été écrits, des trajets dans la ville enregistrés. Cette exposition rassemble les résultats de l’atelier, à la croisée des pratiques des soignants et des usagers, pour dire ce nouveau territoire de la santé mentale qui a pris le chemin de l’école buissonnière.


Exposition du travail d’atelier d’écriture et de sérigraphie, réalisé avec les patients du Centre de Jour (5 rue Saint-Denis 75001 Paris), avec le soutien des équipes de Paris-Centre et la collaboration de l'Association de la rue des barres.
Inauguration le 18 octobre de 16h30 à 19h30.
Exposition ouverte les vendredi 20 et 27 octobre et le vendredi 3 novembre, de 17h à 19h.
Renseignements : 01 42 77 59 11






La villa à Corbeil 10 rue du Bas-Coudray 91100 Corbeil-Essonnes

« Des lits debout »
ou comment faire le lit de la psychiatrie
Exposition


Lucien Bonnafé citait souvent cet extrait des "Chants de Maldoror" de Lautréamont :

" Les obscurités à carapace de punaises, la monomanie terrible de l'orgueil, l'inoculation des stupeurs profondes, les oraisons funèbres, les envies, les trahisons, les tyrannies, les impiétés, les irritations, les acrimonies, les incartades agressives, la démence, le spleen, les épouvantements raisonnés, les inquiétudes étranges que le lecteur préférerait ne pas éprouver, les grimaces, les névroses, les filières, sanglantes par lesquelles on fait passer la logique aux abois."



L'exposition de Corbeil-Essonnes s’intitule « Des lits debout ». C’était l’expression employée par Bonnafé pour convaincre ceux qui travaillaient avec lui, que le lit n’était pas seulement un mobilier de l’asile.
Le « lit » fait partie de la sémantique psychiatrique. Il est à la fois un indice économique et un euphémisme asilaire. On dit « ouvrir un lit », « fermer un lit ». Il sert à évaluer la psychiatrie, à saisir les enjeux économiques et politiques qui la secouent. On entend dire : « Le nombre de lits d’hospitalisation en psychiatrie a diminué de 22% » ou « Le ministre de la santé a annoncé un moratoire sur la fermeture de lits en psychiatrie suite au meurtre d’une infirmière et d’une aide-soignante durant leur nuit de garde ».
Entre le lit-monade de Georges Perec et le lit-naissance de la clinique de Michel Foucault, il y a l'immense imaginaire du lit psychiatrique tel qu'il sert encore à évaluer tous les moyens des soins de la maladie mentale.

Avant de partir à la retraite, Lucien Bonnafé a souhaité que son service se dote d'un certain nombre de lits. Son équipe, celle qu'il avait formée à intervenir dans la ville, a refusé. Aujourd'hui encore, cette question demeure en suspend et reste polémique.


Exposition réalisée avec les usagers de la Villa par la Parole Errante et Thérèse Amper-Jonas en partenariat avec Arimage et la Serhep Corbeil et le soutien du centre hospitalier Sud Francilien.
Ouverte du 16 au 31 octobre , les lundi, mardi et vendredi de 14h à 16h, et sur demande
Contacter Bernadette Chevillion au 01 60 90 77 76
Inauguration le 10 octobre de 14h à 18h à la Villa à Corbeil ( 10 rue du bas coudray 91100 Corbeil-Essonnes)
Débat infirmier « Sur la ligne de front » et Soirée d’hommage à Pierre Singlis, infirmier de secteur, le 24 octobre à 20h30 à la Villa à Corbeil (10 rue du bas-coudray 91100 Corbeil-Essonnes)





Hôpital de jour de Bondy 16 rue du Breuil 93140 Bondy


« Les lieux de vie et la ville»
Exposition




En 1943, le poète Paul Eluard en route pour le maquis est accueilli par Lucien Bonnafé, directeur de l'hôpital psychiatrique de Saint-Alban. Il y écrit le poème "Cimetière des fous".

"Ce cimetière enfanté par la lune
Entre deux vagues de ciel noir
Ce cimetière archipel de mémoire
Vit de vents fous et d'esprits en ruine

Trois cents tombeaux réglés terre nue
Pour trois cents morts masqués de terre
Des croix sans nom corps du mystère
La terre éteinte et l'homme disparu

Les inconnus sont sortis de prison
Coiffés d'absence et déchaussés
N'ayant plus rien à espérer
Les inconnus sont morts dans la prison

Leur cimetière est un lieu sans raison."



Ce poème fut un socle dans la démarche de Lucien Bonnafé. Toute sa vie, il a œuvré à travers sa conception du désaliénisme, à fermer les asiles pour que les fous puissent sortir des bâtiments où ils étaient relégués et qu'ils ne quittaient que le jour venu de déménager au cimetière. Aujourd'hui, la psychiatrie est dans la ville, elle s'organise. Des lieux de travail, des habitations, des circulations se mettent en place. À Bondy, un hôpital de jour s’est organisé autour du travail d’un cuisinier. À Corbeil, une association gère dans le foyer d'un théâtre un restaurant où les patients réapprennent à travailler. À Morsang-sur-Orge, un café curieux accueille des clients dans un décor aux arêtes questionnantes. Aujourd’hui, alors que ce mouvement continue à se développer, un contre-courant semble se mettre en place. Avec le risque d’un retour à une politique de grande concentration des soins, perceptible à travers la réforme hospitalière programmée pour 2007.

Cette exposition confrontera différentes expériences menées aujourd’hui pour continuer cette recherche d’espaces d'accueil de la folie. Pour soutenir ces lieux qui sont toujours les plus fragiles parce qu'ils se situent justement en dehors ou à la marge de la psychiatrie.
Exposition à l’hôpital de jour de Bondy (16 rue du Breuil 93140 Bondy) ouverte les 23, 24 et 31 octobre de 14h à 16h
Inauguration le 17 octobre de 14h à 16h
Rens : 01 48 49 44 26




Centre Médico-Psychologique du Figuier

2 rue du Figuier 75004 Paris

"Les infirmiers sur la ligne de front"
Exposition


"Il s'agit moins de rendre les gens heureux que de les empêcher d'être malheureux. N'opprimez pas, voilà tout. Chacun saura bien trouver sa félicité. Un malade chez lequel serait établi le préjugé qu'il doit son bonheur à ceux qui le soignent ne le conserverait pas longtemps."
Saint Just

Lucien Bonnafé commentait cette citation de la façon suivante :
"J'ai dit et redit depuis bien longtemps qu'on ne peut considérer la folie hors de sa dimension d'avatar malheureux dans la juste protestation de l'esprit contre une injuste contrainte".
Immédiatement après-guerre, l'effort de Lucien Bonnafé a porté sur le « personnage du psychiatre » et la posture particulière qui lie savoir et pouvoir, celle qui permet de décider de l'autre et de ce qui doit être fait pour son bien. Une position qui avait mené aux catastrophes observées pendant la guerre. C’est donc tout à fait logiquement que le "Psychiatre désaliéniste" cherchait également à transformer celui qui à l'époque n'était que gardien d’asile en infirmier. Il soulignait sans cesse que l'infirmier était le plus proche et le mieux placé des observateurs pour accompagner le fou.
La formation de l'infirmier sera pendant des années sa préoccupation principale pour que se développe son potentiel soignant. Nous avons rencontré de nombreux infirmiers et une chose nous a frappé. Quels que soient leur âge ou leur formation, ils disent : " Finalement, nous soignons avec nous-mêmes."

Exposition
"Sur la ligne de front" au Centre Médico-Psychologique du Figuier (2 rue du Figuier 75004 Paris) ouverte tous les jours jusqu’au 31 octobre de 9h30 à 18h30
Inauguration le 18 octobre de 16h30-19h30
Rens : 01 48 87 79 33





Calendrier

3 octobre

18h30 Inauguration à l’espace Confluences (190 boulevard de Charonne 75020 Paris) de l’exposition « Le bureau de Lucien Bonnafé ».
Exposition ouverte tout le mois d’octobre du lundi au vendredi de 10h à 18h
Rens : 01 40 24 16 46
21h Soirée débat « Les lits debout », rencontre avec les équipes de secteur de Corbeil, Bondy, Paris-Centre et Morsang-sur-Orge. Projection du film d'entretien avec Lucien Bonnafé « L’écoute et l’écho », réalisé par Stéphane Gatti.

10 octobre
14h-18h
Inauguration à la Villa à Corbeil (10 rue du Bas-Coudray 91100 Corbeil-Essonnes) de l’exposition « Les lits debout ».
Exposition ouverte du 16 au 31 octobre, les lundi, mardi et vendredi de 14h à 16h, et sur demande : contacter Bernadette Chevillion au 01 60 90 77 76

17 octobre
14h à 16h
Inauguration à l’hôpital de jour de Bondy (16 rue du Breuil 93140 Bondy) de l'exposition « Les lieux de vie et la ville ».
Exposition ouverte les 23, 24 et 31 octobre de 14h à 16h
Rens : 01 48 49 44 26

18 octobre
16h30-19h30
« Du Figuier à Châtelet », Inauguration de l’exposition « Sur la ligne de front » sur les infirmiers au Centre Médico-Psychologique du Figuier (2 rue du Figuier 75004 Paris)
Exposition ouverte tous les jours jusqu’au 31 octobre de 9h30 à 18h30
Rens : 01 48 87 79 33
Et Inauguration de l’exposition du travail d’atelier d’écriture et de sérigraphie, réalisé avec les patients du Centre de Jour (5 rue Saint-Denis 75001 Paris)
Exposition ouverte les vendredi 20 et 27 octobre et le vendredi 3 novembre, de 17h à 19h.
Renseignements : 01 42 77 59 11

19 octobre
20h30
Débat « La question Lucien Bonnafé » à Confluences (190 boulevard de Charonne 75020 Paris)

21 octobre
13h30
« Les lieux de vie et la ville » Débat à Confluences (190 boulevard de Charonne 75020 Paris) avec les acteurs de différents lieux en Ile-de-France (Le café curieux à Morsang-sur-Orge, l’atelier peinture de la Villa à Corbeil, le journal les Beaux Barres, l’agence 13 voyages, le restaurant Agape, le Troc, la cuisine de l'Hôpital de Jour de Bondy).

24 octobre
20h30
Débat « Sur la ligne de front » et soirée d’hommage à Pierre Singlis, infirmier de secteur, à la Villa à Corbeil (10 rue du Bas-Coudray 91100 Corbeil-Essonnes)


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